http://croque.odile.cowblog.fr/images/851809771.jpg

Je me dit qu'il vaut mieux laisser couler les choses, au risque de les perdre définitivement. Parfois, on n'y peut rien, c'est comme ça, on se dit "c'est la vie.". J'ai choisis de passer au dessus de ça, j'ai choisis d'être heureuse.

Le casque à fond, La rue Ket' me berce, le paysage défile derrière la fenêtre, il court, s'étend. Au tournant, un champs immense m'apparait, m'émerveille. Il en faut beaucoup moins que ça pour être heureux. La joie de vivre, c'est un talent, une chose innée. Moi, j'ai sue saisir cette qualité qui m'est utile. Dans les moments les plus durs, il faut savoir relativiser, et je crois qu'en ce moment c'est ce que je devrais faire. On s'oublie sois même, on ne prend pas soin de nous. Je n'sais pas où j'vais, Oh, ça je ne l'ai jamais bien sue.

Il me manque. Il me manque tellement. Je saoule les gens à force. Pourtant s'ils avaient juste ressentit un centième de ce que j'eprouvait pour lui, ils comprendraient peut être pourquoi j'ai toujours un peu de mal à tourner définitivement la page. Et puis merde, oublier quelqu'un reste plus dur que jeter son poisson rouge dans les chiottes.